Vadim, Antoine et Gheorghe lors des travaux de Bourg-en-Bresse
📍 Grenoble — Coup de froid
📉 32 404 € de chiffre d’affaires , total depuis le lancement 877 181€.
soit -6 000 € par rapport à novembre. Une chute nette qui nous fait tiquer. En discutant avec d'autres restaurateurs sur place et en récupérant des infos via NBK, le constat est partagé : le marché semble entrer dans une phase baissière.
Côté RH, on met fin à la stratégie des alternants. Trop de profils pas adaptés, trop de paperasse, et surtout une lourdeur administrative qui ne justifie plus l’investissement. On repart donc sur une approche plus classique avec des CDI temps plein / temps partiel.
Sauf que... Vadim n’est déjà plus sur place, et les premières galères de management à distance se font sentir. Les nouvelles recrues ne tiennent pas, mal accompagnées, ou tout simplement pas sérieuses. Résultat : rotation élevée, charge mentale accrue, et un restaurant qui devient difficile à piloter depuis une autre ville alors même que le restaurant de Bourg n'a pas ouvert encore.
📍 Lille — Croissance maîtrisée, vigilance maintenue
📈 33 019 € de chiffre d’affaires, total depuis le lancement : 447 507€
Un mois classique mais solide, toujours au-dessus des 30K, et en hausse de 7 % vs N-1. Est-ce un bon signe ou juste un retard sur une baisse généralisée qui touche le marché ? Pour l’instant, on reste prudents.
Sur le plan produit, on a lancé une nouveauté signée NBK, également testée à Grenoble : un naan à l’effiloché de bœuf. Et surprise — cette fois, ça fonctionne. Recette bien pensée, sourcing carré, fournisseur sérieux… et les clients ont suivi. Résultat : de belles ventes, un produit bien intégré dans l’offre, et un rare exemple de coordination efficace avec NBK.
📍 Bourg-en-Bresse — Tout prêt… sauf le matos
L’objectif était clair : ouvrir en décembre. Et sur le papier, tout était calé. Entre la visite terrain d’Antoine début novembre, le débarrassage de la cuisine, la conception du plan d’implantation, et la venue de Gheorghe (l’un de nos investisseurs, artisan de métier), les travaux ont été réalisés en un temps record entre fin novembre et début décembre.
Mais ce qu’on n’avait pas anticipé, c’est le goulot d’étranglement côté fournisseurs. Les délais de livraison du matériel ont explosé avec les fêtes, et on se retrouve prêts… mais sans les équipements essentiels pour lancer l’activité.
Résultat : ouverture reportée à janvier malgré une exécution terrain exemplaire.